Comment savoir si vous êtes un bon entraîneur? C'est lorsque vous savez que vous faites passer les gens en premier. Si vous êtes un bon entraîneur, vous vous assurez d'un bon contact personnalisé avec chacun de vos joueurs. Vous faites en sorte surtout de connaître chacun d'eux, et surtout de faire évoluer chacun au maximum de ses capacités. De cette façon, vous leur rendez la vie plus facile, et ils sont alors en mesure d'être performants à leur plein potentiel.
Sylvain Guimond, PH. D.
LE HOCKEY C'EST DANS LE TÊTE! Un excellent livre à lire!
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Être gardien de but au hockey est bien spécial, de par sa position, la pression naturelle et les qualités physiques et psychologiques qu’elle demande. Le temps passé debout sur la glace sans jamais s’assoir, les déplacements rapides et les enchaînements de mouvements demandent beaucoup à l’athlète. Il doit donc se préparer en conséquence. Un jeune peu très bien exercer la position de gardien de but sans jamais s’entraîner, c’est de la participation sportive. Par contre, celui qui veut progresser, performer et monter de niveau doit s’entraîner et se préparer pour son sport favoris. Ça devient de la compétition sportive.
Plus le gardien monte de niveau, plus le jeu est rapide. Il doit donc parfaire sa vitesse de déplacement et d’exécution. L’entraînement hors glace, en gymnase, est le complément nécessaire et favorable à un entraînement sur glace spécifique pour le gardien.
Sur la glace, il doit faire des exercices de patins en puissance pour augmenter la vitesse de ses déplacements. Il doit augmenter son agilité afin de combattre la grosseur et la lourdeur de son équipement. Il doit être athlétique et fort physiquement pour suivre le jeu. L’entraînement physique facilite beaucoup les mouvements du gardien. Il peut ainsi se concentrer plus sur la rondelle et moins sur ses déplacements. Ces derniers sont aussi pratiqués à maintes reprises pour qu’ils deviennent automatiques. La combinaison de tous ces points d’entraînement augmente le niveau du gardien et ses performances sont meilleures.
De plus, un entraînement hors glace de qualité et spécifique aux gardiens de but l’aide à mieux se préparer avant les entraînements et les parties évitant ainsi les risques de blessures et les mauvaises performances. La santé physique vient augmenter celle mentale. La confiance en soi ne cesse de grimper!
Rendu à un certain niveau, le fait de penser que l’entraînement d’un gardien de but se passe uniquement sur la glace ne tient plus! Le hockey est un sport ultra rapide. La position de gardien nécessite une préparation spécifique afin de maintenir une progression constante, de suivre l’évolution des différents niveaux et de s’assurer d’améliorer les performances à la même vitesse que les joueurs.
Simon Harrisson
FTH
Plus le gardien monte de niveau, plus le jeu est rapide. Il doit donc parfaire sa vitesse de déplacement et d’exécution. L’entraînement hors glace, en gymnase, est le complément nécessaire et favorable à un entraînement sur glace spécifique pour le gardien.
Sur la glace, il doit faire des exercices de patins en puissance pour augmenter la vitesse de ses déplacements. Il doit augmenter son agilité afin de combattre la grosseur et la lourdeur de son équipement. Il doit être athlétique et fort physiquement pour suivre le jeu. L’entraînement physique facilite beaucoup les mouvements du gardien. Il peut ainsi se concentrer plus sur la rondelle et moins sur ses déplacements. Ces derniers sont aussi pratiqués à maintes reprises pour qu’ils deviennent automatiques. La combinaison de tous ces points d’entraînement augmente le niveau du gardien et ses performances sont meilleures.
De plus, un entraînement hors glace de qualité et spécifique aux gardiens de but l’aide à mieux se préparer avant les entraînements et les parties évitant ainsi les risques de blessures et les mauvaises performances. La santé physique vient augmenter celle mentale. La confiance en soi ne cesse de grimper!
Rendu à un certain niveau, le fait de penser que l’entraînement d’un gardien de but se passe uniquement sur la glace ne tient plus! Le hockey est un sport ultra rapide. La position de gardien nécessite une préparation spécifique afin de maintenir une progression constante, de suivre l’évolution des différents niveaux et de s’assurer d’améliorer les performances à la même vitesse que les joueurs.
Simon Harrisson
FTH
Comment entraîner la coordination oeil-main?
PAR L’ÉQUIPE DE SCIENCEPERFO • 16 JUIN 2016 •
Dans un article précédant, la coordination œil-main a été décrite comme une habileté motrice essentielle à une bonne performance à la position de gardien de but. La compréhension de cette qualité physique nous permet maintenant de saisir ce qui favorisera son amélioration. Les entraîneurs se laissant souvent prendre au jeu de l’innovation et de la recherche de clics dans leurs médias sociaux, cet article vise à donner des lignes directrices quant à la conception d’exercices spécifiques aux gardiens de but qui seront réellement utiles pour la coordination œil-main.
Premièrement, il existe différents récepteurs à l’intérieur de l’œil, les cônes et les bâtonnets. Les cônes sont les plus importants, car ils sont situés principalement au milieu de la rétine et ils possèdent une plus grande précision de détection(2). Ils utilisent principalement la détection des formes et des couleurs pour localiser les objets dans l’espace. Ces récepteurs sont donc activés différemment en fonction de la couleur des objets à localiser(4). Afin d’avoir un entraînement transférable, il faut donc que la forme et la couleur de l’objet avec lequel la pratique est effectuée ressemble le plus possible à ce qui est utilisé en situation de match(3).
Un autre élément à considérer est la trajectoire avec laquelle l’objet à localiser se déplace. L’œil transmet des informations qui permettent au cerveau de prévoir la cible à atteindre afin d’envoyer une commande motrice pour le mouvement de la main. L’entraînement de la coordination œil-main ne passe donc pas seulement par le simple fait d’attraper un objet, mais bien par la détection de la trajectoire de celui-ci et par l’adaptation de la commande motrice de réponse(5).
Ensuite, la répétition de ce processus à vitesse lente ou modérée ne permet pas de créer une stimulation nécessaire à la création d’amélioration. La progression de la performance vient à la suite d’une exposition qui défi le gardien. Il doit donc être confronté à une vitesse de déplacement égale ou plus rapide que ce à quoi il est habitué sur la patinoire afin de favoriser le travail de sa capacité de localisation et de mouvement par rapport à l’objet à attraper.(1)
En somme, afin d’avoir un entraînement de la coordination œil-main qui permettra au gardien de but de réellement s’améliorer, il faut que l’exercice soit effectué avec un objet de couleur et de forme représentative, que la trajectoire de l’objet soit similaire à celle perçue dans les parties et il faut que la vitesse de l’objet soit égale ou supérieure à ce à quoi le gardien est normalement confronté.
L’entraînement avec des balles de tennis
Les balles de tennis sont depuis longtemps un item prisé par les entraîneurs de gardiens de but pour l’amélioration de la coordination œil-main. Cependant, à la lumière des informations présentées dans cet article, on peut grandement remettre en question cette utilisation. Les balles de tennis ne sont pas représentatives au niveau de leur forme et de leur couleur en plus de rarement suivre des trajectoires caractéristiques. Au hockey, les trajectoires sont majoritairement montantes, ce qui est beaucoup plus variable avec des balles rebondissantes. La vitesse varie aussi beaucoup entre les lancers de rondelle et de balles de tennis.
De surcroît, les adaptations sont presque impossibles lorsque le lancer de la balle est autoinitié par le gardien lui-même (exemple : lancer la balle sur un mur devant). En effectuant le lancer, le gardien sait inconsciemment la trajectoire de l’objet à attraper aura après avoir frappé le mûr(1). S’il réussit à se déjouer sur le premier essai, cela ne pourra pas se reproduire par la suite, car le cerveau connaît maintenant cette possibilité(5).
En conclusion, il est très difficile de créer de bons exercices qui permettront de réelles améliorations de la coordination œil-main. Malgré les centaines de vidéos plus innovateurs les uns que les autres que vous verrez sur internet, il en existe très peu qui sont assez spécifiques pour reproduire ce qui se passe sur la patinoire face à un adversaire. Toutefois, les jeux avec balles de tennis demeurent très pertinents pour le développement de la coordination œil-main comme fondement moteur de base chez les jeunes, il faut seulement être plus conservateur dans les vertus qu’on a tendance à leur attribuer.
Écrit par Léandre Gagné Lemieux, M.Sc. kinésiologie
GARDIENS DE BUT
PAR L’ÉQUIPE DE SCIENCEPERFO • 16 JUIN 2016 •
Dans un article précédant, la coordination œil-main a été décrite comme une habileté motrice essentielle à une bonne performance à la position de gardien de but. La compréhension de cette qualité physique nous permet maintenant de saisir ce qui favorisera son amélioration. Les entraîneurs se laissant souvent prendre au jeu de l’innovation et de la recherche de clics dans leurs médias sociaux, cet article vise à donner des lignes directrices quant à la conception d’exercices spécifiques aux gardiens de but qui seront réellement utiles pour la coordination œil-main.
Premièrement, il existe différents récepteurs à l’intérieur de l’œil, les cônes et les bâtonnets. Les cônes sont les plus importants, car ils sont situés principalement au milieu de la rétine et ils possèdent une plus grande précision de détection(2). Ils utilisent principalement la détection des formes et des couleurs pour localiser les objets dans l’espace. Ces récepteurs sont donc activés différemment en fonction de la couleur des objets à localiser(4). Afin d’avoir un entraînement transférable, il faut donc que la forme et la couleur de l’objet avec lequel la pratique est effectuée ressemble le plus possible à ce qui est utilisé en situation de match(3).
Un autre élément à considérer est la trajectoire avec laquelle l’objet à localiser se déplace. L’œil transmet des informations qui permettent au cerveau de prévoir la cible à atteindre afin d’envoyer une commande motrice pour le mouvement de la main. L’entraînement de la coordination œil-main ne passe donc pas seulement par le simple fait d’attraper un objet, mais bien par la détection de la trajectoire de celui-ci et par l’adaptation de la commande motrice de réponse(5).
Ensuite, la répétition de ce processus à vitesse lente ou modérée ne permet pas de créer une stimulation nécessaire à la création d’amélioration. La progression de la performance vient à la suite d’une exposition qui défi le gardien. Il doit donc être confronté à une vitesse de déplacement égale ou plus rapide que ce à quoi il est habitué sur la patinoire afin de favoriser le travail de sa capacité de localisation et de mouvement par rapport à l’objet à attraper.(1)
En somme, afin d’avoir un entraînement de la coordination œil-main qui permettra au gardien de but de réellement s’améliorer, il faut que l’exercice soit effectué avec un objet de couleur et de forme représentative, que la trajectoire de l’objet soit similaire à celle perçue dans les parties et il faut que la vitesse de l’objet soit égale ou supérieure à ce à quoi le gardien est normalement confronté.
L’entraînement avec des balles de tennis
Les balles de tennis sont depuis longtemps un item prisé par les entraîneurs de gardiens de but pour l’amélioration de la coordination œil-main. Cependant, à la lumière des informations présentées dans cet article, on peut grandement remettre en question cette utilisation. Les balles de tennis ne sont pas représentatives au niveau de leur forme et de leur couleur en plus de rarement suivre des trajectoires caractéristiques. Au hockey, les trajectoires sont majoritairement montantes, ce qui est beaucoup plus variable avec des balles rebondissantes. La vitesse varie aussi beaucoup entre les lancers de rondelle et de balles de tennis.
De surcroît, les adaptations sont presque impossibles lorsque le lancer de la balle est autoinitié par le gardien lui-même (exemple : lancer la balle sur un mur devant). En effectuant le lancer, le gardien sait inconsciemment la trajectoire de l’objet à attraper aura après avoir frappé le mûr(1). S’il réussit à se déjouer sur le premier essai, cela ne pourra pas se reproduire par la suite, car le cerveau connaît maintenant cette possibilité(5).
En conclusion, il est très difficile de créer de bons exercices qui permettront de réelles améliorations de la coordination œil-main. Malgré les centaines de vidéos plus innovateurs les uns que les autres que vous verrez sur internet, il en existe très peu qui sont assez spécifiques pour reproduire ce qui se passe sur la patinoire face à un adversaire. Toutefois, les jeux avec balles de tennis demeurent très pertinents pour le développement de la coordination œil-main comme fondement moteur de base chez les jeunes, il faut seulement être plus conservateur dans les vertus qu’on a tendance à leur attribuer.
Écrit par Léandre Gagné Lemieux, M.Sc. kinésiologie
GARDIENS DE BUT
La coordination-oeil main: l’outil par excellence du gardien
PAR L’ÉQUIPE DE SCIENCEPERFO • 06 JUIN 2016 •
Les qualités athlétiques nécessaires à la performance d’un gardien de but sont variées et souvent complexes. Les entraîneurs rivalisent d’ingéniosité afin de trouver de nouveaux exercices qui permettront d’améliorer les éléments clés de leur performance. Une des qualités physiques souvent qualifiée d’essentielle chez les gardiens est la coordination œil-main. L’avènement de l’internet et des médias sociaux amène des exercices plus originaux les uns que les autres qui ont pour but d’améliorer ce paramètre de performance. Pourtant, très peu d’entraîneurs connaissent réellement ce qu’est la coordination œil-main et ce qui détermine son efficacité. Voici un aperçu simplifié de cette théorie issue du domaine de la neuroscience.
Qu’est-ce que la coordination œil-main?
Tout mouvement de la main nécessite un objectif spatial (une cible) déterminé par le système visuel. Celui-ci est non seulement un système sensoriel (détection d’un objet dans l’espace), mais aussi un système moteur (mouvement de l’œil dans son orbite à la recherche de la cible). C’est donc dire que l’œil doit bouger en même temps que de reconnaître l’objet vers lequel se dirigera la main. Dans la séquence temporelle, le mouvement de l’œil est effectué avant l’amorce du mouvement de la main afin de pouvoir identifier la cible.
Pour les gardiens de but, l’œil doit être en mesure de déterminer rapidement la trajectoire de la rondelle afin d’amorcer le mouvement de la main le plus tôt possible. La vitesse d’un lancer au hockey étant très élevée, les corrections de mouvement possibles après l’amorce initiale du mouvement de la main sont presque nulles. Il faut donc que le geste soit précis dès le départ.
Peut-on améliorer la coordination œil-main?
La coordination œil-main fait partie des éléments du répertoire moteur de base qui devraient être développé chez les jeunes. L’enfance est un moment idéal pour ce genre d’améliorations, car la fenêtre motrice y est disposé. De plus, dans un objectif de diversification sportive chez les jeunes la coordination œil-main est utile dans de nombreux sports auxquels participera le jeune sportif. Cela peut aussi être vu inversement, la pratique de plusieurs sports permettra un répertoire de coordination œil-main plus diversifié possédant une meilleure capacité d’adaptation.
Lorsqu’on parle de l’amélioration de la coordination œil-main, on parle principalement de l’amélioration de la vitesse et de la précision de l’identification de la trajectoire de l’objet ainsi que de la synchronisation du mouvement par rapport aux informations acquises.
En conclusion, la coordination œil-main est un élément fondamental du développement moteur de base qui devrait être stimulé chez tous les enfants. Pour ce qui est du développement spécifique de cette qualité pour des gardiens de but expérimentés et possédant déjà un bon fondement moteur de coordination œil-main, la possibilité d’amélioration est beaucoup plus complexe et plus spécifique au sport pratiqué. Cela sera élaboré dans un prochain article de SciencePerfo.
Écrit par Léandre Gagné Lemieux, M.Sc. kinésiologie
Références
1. Jeannerod M (1986) Mechanisms of visuomotor coordination: a study in normal and brain-damaged subjects. Neuropsychologia 24(1):41-78.
2. Paillard J (1996) Fast and slow feeback loops for the visual correction of spacial errors in a pointing task: a reappraisal. Can J Physiol Pharmacol 74(4):401-417.
3. Schmidt RA et Lee TD (2005) Motor control and learning: A behavioral emphasis. Champaign, Human Kinetics.
GARDIENS DE BUT
PAR L’ÉQUIPE DE SCIENCEPERFO • 06 JUIN 2016 •
Les qualités athlétiques nécessaires à la performance d’un gardien de but sont variées et souvent complexes. Les entraîneurs rivalisent d’ingéniosité afin de trouver de nouveaux exercices qui permettront d’améliorer les éléments clés de leur performance. Une des qualités physiques souvent qualifiée d’essentielle chez les gardiens est la coordination œil-main. L’avènement de l’internet et des médias sociaux amène des exercices plus originaux les uns que les autres qui ont pour but d’améliorer ce paramètre de performance. Pourtant, très peu d’entraîneurs connaissent réellement ce qu’est la coordination œil-main et ce qui détermine son efficacité. Voici un aperçu simplifié de cette théorie issue du domaine de la neuroscience.
Qu’est-ce que la coordination œil-main?
Tout mouvement de la main nécessite un objectif spatial (une cible) déterminé par le système visuel. Celui-ci est non seulement un système sensoriel (détection d’un objet dans l’espace), mais aussi un système moteur (mouvement de l’œil dans son orbite à la recherche de la cible). C’est donc dire que l’œil doit bouger en même temps que de reconnaître l’objet vers lequel se dirigera la main. Dans la séquence temporelle, le mouvement de l’œil est effectué avant l’amorce du mouvement de la main afin de pouvoir identifier la cible.
Pour les gardiens de but, l’œil doit être en mesure de déterminer rapidement la trajectoire de la rondelle afin d’amorcer le mouvement de la main le plus tôt possible. La vitesse d’un lancer au hockey étant très élevée, les corrections de mouvement possibles après l’amorce initiale du mouvement de la main sont presque nulles. Il faut donc que le geste soit précis dès le départ.
Peut-on améliorer la coordination œil-main?
La coordination œil-main fait partie des éléments du répertoire moteur de base qui devraient être développé chez les jeunes. L’enfance est un moment idéal pour ce genre d’améliorations, car la fenêtre motrice y est disposé. De plus, dans un objectif de diversification sportive chez les jeunes la coordination œil-main est utile dans de nombreux sports auxquels participera le jeune sportif. Cela peut aussi être vu inversement, la pratique de plusieurs sports permettra un répertoire de coordination œil-main plus diversifié possédant une meilleure capacité d’adaptation.
Lorsqu’on parle de l’amélioration de la coordination œil-main, on parle principalement de l’amélioration de la vitesse et de la précision de l’identification de la trajectoire de l’objet ainsi que de la synchronisation du mouvement par rapport aux informations acquises.
En conclusion, la coordination œil-main est un élément fondamental du développement moteur de base qui devrait être stimulé chez tous les enfants. Pour ce qui est du développement spécifique de cette qualité pour des gardiens de but expérimentés et possédant déjà un bon fondement moteur de coordination œil-main, la possibilité d’amélioration est beaucoup plus complexe et plus spécifique au sport pratiqué. Cela sera élaboré dans un prochain article de SciencePerfo.
Écrit par Léandre Gagné Lemieux, M.Sc. kinésiologie
Références
1. Jeannerod M (1986) Mechanisms of visuomotor coordination: a study in normal and brain-damaged subjects. Neuropsychologia 24(1):41-78.
2. Paillard J (1996) Fast and slow feeback loops for the visual correction of spacial errors in a pointing task: a reappraisal. Can J Physiol Pharmacol 74(4):401-417.
3. Schmidt RA et Lee TD (2005) Motor control and learning: A behavioral emphasis. Champaign, Human Kinetics.
GARDIENS DE BUT